dimanche 28 septembre 2014

Galaxidi

Sur notre route vers le sud et la péninsule du Péloponnèse, au sud de la Grèce, nous avons fait une halte à Galaxidi, un petit port près de Delphes. Le village est vraiment très beau et on a pu stationner le camion sous les oliviers face à la petite plage, un peu après le village. Aujourd'hui, c'est repos donc, à l'ombre des oliviers car le soleil est de retour ...


Les Météores (suite et fin) - Le Pélion

Nous avons pu visiter un second petit monastère, Agios Nikolaos Anapavsas, sympathique même si l'on ne voit pas grand chose de l'intérieur, à part l'église couverte de peintures murales.

Montée vers le monastère

Monastère d'Agios Nikolaos Anapavsas


Si vous devez venir dans les Météores, ne séjournez pas dans la grande ville, Kalambaka, mais dans le très joli village où nous étions, Kastraki. Nous avons vraiment adoré cet endroit.
Après Les Météores, nous avons pris la direction du Pélion, péninsule en forme de doigt recourbé au nord d'Athènes. Malheureusement, le temps n'était pas avec nous. Nous ne sommes donc restés que 2 jours mais avons parcouru pas mal de km car c'est très sinueux. Nous avons passé une nuit à Agios Ioannis, sur la côte est de la péninsule. En dépit du mauvais temps, nous y avons vu la plus belle plage depuis notre départ, Plaka, juste à côté du port :


Le second arrêt, nous l'avons fait à Paltsi, une plage au sud de la péninsule. Là encore, magnifique mais un temps épouvantable (pluie, vent, très frais). L'avantage : nous étions seuls et avons pu dormir devant la mer :

La Péninsule est très belle et par beau temps, il y a de quoi rester au moins une semaine mais nous avons choisi de partir vers le sud pour retrouver la chaleur et le beau temps.

mercredi 24 septembre 2014

Les Météores

Après nous être remis de nos émotions au bord de la mer à Sivota (très beau coin, la côte entre Igouménitsa et Parga est très découpée, très belle, beaucoup de petites criques accessibles et des collines couvertes de forêt), nous avons pris la direction des Météores, à l'est d'Igouménitsa, dans le nord de la Grèce. Les Météores, pour ceux qui ne connaissent pas, sont des formations géologiques uniques, de grands rochers tout lisses répartis sur un périmètre assez étroit (je ne suis pas géologue, ça se voit ?!). C'est un paysage impressionnant, vraiment de toute beauté. Sur quelques-uns de ces éperons rocheux subsistent encore quelques monastères. Ce matin, nous avons pris notre courage à deux mains, avons enfourché nos vélos (nous étions les seuls ... en vélo !!) et sommes montés depuis le très sympathique village de Kastraki parcourir ce paysage unique. Nous n'avons pas regretté notre peine car nous avons pu profiter pleinement du spectacle (et ce n'était pas si dur, il faut l'avouer). Nous avons visité un tout petit monastère (Agia Triada) car devant l'affluence devant le Grand Météore (le plus grand monastère), nous avons renoncé. Demain, nous allons essayer d'en voir un autre. 
J'écris de la terrasse du restaurant du camping (camping Vrachos, à l'entrée de Kastraki) où nous venons de nous régaler pour le 2ème soir consécutif (et pour 20 € en tout) de viande grillée, aubergines grillées, frites et vin local (fameux, très fruité). C'est juste histoire de vous faire saliver ...

Un petit aperçu des Météores :

Vue depuis la piscine du camping

Ingénieux ces greniers sous roche

Monastère de Roussano

Vue depuis le village ancien

Ambiance mystique ...

Village de Kastraki

lundi 22 septembre 2014

Traversée et arrivée en Grèce ... Epique ou flippant !!

Nous sommes en Grèce depuis 2 jours. Il y fait très beau et chaud (plus qu'en Italie) mais il faut vous raconter notre arrivée ... rocambolesque ! Tout a commencé sur le port de départ, à Brindisi. Nous avons pris nos billets sans évoquer la présence de Ginga car les chiens, même s'ils restent dans le camion durant la traversée, doivent eux aussi payer pour être embarqués (20 € quand même). Comme à chaque fois que nous avons pris un ferry jusque là, nous ne parlons pas de Ginga mais au moment où l'on présente les billets au jeune gars de la Grimaldi Lines (ça nous semblait déjà un nom douteux), Ginga pointe son bout de museau à la fenêtre arrière ! Du coup, retour à la billetterie pour payer pour le chien et voilà qu'ils nous font payer 30 € en plus soit disant pour réémission de billets. Mais aucun billet n'a été réémis, ils ont juste signé un vulgaire papier. Du vol, tout simplement ! On a donc payé 50 € de plus, uniquement pour Ginga ! Même si on adore notre chienne, on a eu du mal à l'avaler !
Du coup, on s'est dit qu'à ce prix-là, Ginga avait le droit de se balader dans le ferry, pas super du tout, avec des toilettes déjà dans un état lamentable avant le départ. Nous voilà donc en train de préparer Ginga (harnais + laisse) et elle, toute ravie, quand on nous dit que la chienne, c'est où dans le chenil où dans le camion. Du coup, retour dans le camion. On était déjà pas mal énervés. 
Ce n'est pas fini ! Dans le bateau, aucun banc sur le pont pour profiter un peu de la mer, aucun coin jeu pour Kéziah, une vilaine salle avec des fauteuils où on crève de chaud. Même Kéziah s'est mis à hurler et voulait retourner au camion. On s'est rabattu sur le bar au milieu des chauffeurs de poids lourds roumains, bulgares ... jusqu'au repas. Pour être sûr de manger, Philippe s'est pointé devant le resto 20 bonnes minutes avant l'ouverture, histoire de passer avant les chauffeurs. Repas, à l'image du bateau, assez fade. Un biberon pour Kéziah, pour lequel on a cherché le couvercle pendant un bon quart d'heure, couvercle emporté sur notre plateau-repas par un garçon très pressé. Retour au bar puis dans la salle avec fauteuils pour coucher Kéziah. Au moment de finir de donner le bibi, plus de bibi, on a cherché partout, au bar, resto ... Une histoire de fous ! Il faut savoir que l'an dernier, sur un ferry scandinave, il nous est arrivé la même chose, nous avons perdu le biberon !
Bref, on arrive exténués à 1h00 du mat après avoir attendu dans le camion 3/4 d'heure car on croyait que l'on arrivait ... Étant donné l'heure avancée de la nuit, nous décidons de sortir du port et dormir sur un grand parking devant. Parking clean, éclairé avec d'autres camions, camping-cars ... Vers 3h00 du mat, on entend un léger bruit à l'arrière du camion. Philippe bondit, regarde par la fenêtre et voit 2 types devant le camion. Il saute dans un slip, ouvre la porte avec Ginga et une matraque et sort comme un fou. Il fait fuir les 2 gars mais en faisant le tour du camion, aperçoit un 3ème type ... sur le toit du camion !!! Le type a réussi à sauter avec Philippe à ses trousses. On a attendu un peu, ils sont partis mais on a décidé de partir nous aussi, on a fait 10 bornes et on s'est posé sur une station-service ouverte avec un jeune gars qui nous a permis de finir notre nuit là. Il était 4h00 quand on s'est recouché. Le lendemain, on n'en revenait pas !
Bonne nouvelle, ils n'ont rien abîmé ni rien pris sur le camion mais on a bien flippé ! Heureusement, Kéziah a dormi comme un ange tout ce temps-là.
Après coup, on pense que c'était juste un manque de chance, c'est tombé sur nous. Mais attention aux zones portuaires ! On le savait déjà mais là, on a été servis !
Dès le lendemain, nous avons rencontré sur une petite plage des hollandais très sympas, Mischa et Daniele, qui terminaient un voyage d'un an depuis l'Afrique du Sud avec leur gros camion (plus gros que le nôtre) :


Aujourd'hui, nous nous détendons sur une autre plage, très belle, au sud de Sivota (20 km en dessous d'Igouménitsa) :





jeudi 18 septembre 2014

Les Pouilles

Depuis dimanche, nous sommes dans la région des Pouilles (le talon de la botte italienne). De Matera, nous avons pris la direction du sud, du côté ouest (mer méditerranée). Nous avons longé toute la côte de Gallipoli jusqu'à Otranto. Franchement, nous n'avons rien trouvé d'extraordinaire en terme de paysage. Nous avons même, il faut l'avouer, été assez déçus compte tenu de tout ce que l'on a entendu sur les Pouilles. Certes, l'eau est très belle (transparente) et les gens toujours aussi sympas mais la côte est assez terne avec des villes pas belles (bien bétonnées) qui n'en finissent plus. Sur cette portion, seul le centre historique de Gallipoli (côté méditerranée) est un peu sympa et Porto Badisco (côté adriatique), un village avec une jolie petite plage où nous avons pu dormir et sortir le kayak. Mais depuis dimanche, nous n'avons pas trouvé un endroit qui nous ait donné envie de nous poser quelques jours. Dommage ...
Les seules photos qu'on a jugé sympa de vous faire partager sur cette portion de route sont celles de notre camion et d'une belle (vieille) fiat 500 (il y en a encore plein ici) :



 
C'est seulement hier (mercredi) que nous avons découvert des paysages différents, la vallée d'Itria, couverte d'oliviers millénaires.
Olivier de 2000 ans !! (On en a ramené de l'huile !!)
La plus belle ville que nous avons vu dans cette région (vraiment, vraiment belle selon moi) est Ostuni, une ville toute blanche telle une casbah.

Après 1 mois d'Italie, le look de Philippe est toujours source d'étonnement pour les italiens !
Après Ostuni, nous sommes allés voir les trulli (maisons très anciennes de forme conique, classées au patrimoine mondial de l'Unesco) à Alberobello. C'est vraiment très beau à voir :


Aujourd'hui, nous avons lézardé sur une petite plage fréquentée par les vieux italiens du coin et mangé des moules divines (c'est pour vous faire râler un peu) :


Voilà, demain, nous quittons l'Italie et prenons le ferry à Brindisi pour la Grèce (arrivée à Igouménitsa).

lundi 15 septembre 2014

Suite des gentillesses ...

Après la visite de Matera, nous cherchions à nous poser pour la nuit dans les environs de la ville. En descendant voir des panneaux, je suis abordée en anglais par un type qui nous propose de garer notre camion chez lui. On ne comprend pas très bien d'abord, on est assez méfiant puis on décide de le suivre. Gianfranco (c'est son nom) nous emmène en fait sur un kartodrome (je crois que c'est comme ça qu'on dit en italien). Juste pour nous éviter de galérer pour trouver un bon endroit pour la nuit (il a vu le bambino avec nous), il nous permet de dormir sur son "domaine". Nous permet de prendre une douche et nous offre une pizza car le restaurant au dessus du karting est à lui. Et comme si ce n'est pas assez, nous emmène voir la ville de Matera la nuit et le lendemain nous offre le café et un tour de kart pour Philippe !!
Grazzie mille Gianfranco, si tu lis cet article !!!

Matera

Enfin arrivés à Matera où l'arrivée par la ville nouvelle est assez rebutante, nous avons découvert au détour d'une rue les sassis, ces quartiers troglodytiques habités depuis des millénaires puis abandonnés dans les années 50 (en fait, on a viré les habitants très pauvres, 15 000 !, pour cause d'insalubrité). Nous n'avons jamais rien vu d'aussi spectaculaire. Un dédale de ruelles et d'escaliers. Les photos ne rendent pas bien compte de la sensation que l'on éprouve en découvrant ces lieux. A voir absolument !
Dommage qu'aujourd'hui, ces quartiers soient vides à part quelques riches qui ont pu retaper les lieux ou les professionnels du tourisme qui ont bien compris comment s'y enrichir. On imagine assez bien la vie sociale qu'il devait y avoir il y a 50 ans.


En route vers Matera ...

Nous avons donc quitté Palinuro vendredi soir vers le sud et avons longé une très belle côte avec d'impressionnantes falaises, autour du village de Matarea (il paraît que cette côte ressemble à la côte amalfitaine, ça nous consolera). 
Samedi fut une journée hallucinante. Nous avons pu éprouver l'extrême gentillesse des italiens du sud. On trouvait les italiens déjà sympas mais là, on a été servis. Merci à notre 911 qui nous facilite grandement les contacts car il plaît beaucoup aux italiens.
Nous poursuivions notre route en direction de Matera (différent de Matarea), dans la région de la Basilicate. Un peu avant d'arriver, nous avons fait une pause dans un petit village de montagne près de la route principale, appelé Senise. Nous devions seulement boire un café et faire quelques courses. Deux jeunes femmes, deux sœurs, nous ont proposé d'acheter des poivrons séchés, spécialité locale. On a dit OK mais quand on a payé 7 € la grappe de poivrons, on a trouvé ça un peu cher ... Puis elles nous ont proposé de les suivre dans l'exploitation familiale, pour montrer les animaux à Kéziah. 
Nous voilà donc partis dans la pampa avec le camion. Rencontre avec le papa des deux filles et la mamma. Là, effectivement, beaucoup d'animaux : oies, chèvres, poules, cheval, ... Un régal pour Kéziah. Puis, comme il était l'heure de déjeuner, elles nous ont proposé de venir manger la pasta à la maison. En réalité, la mamma nous a concocté le vrai repas italien avec entrée, premier plat (les pâtes, divines) puis le second plat (du veau mariné dans du vinaigre balsamique, divin aussi). On a partagé un moment très sympa avec ces gens très simples qui ne parlaient pas un mot de français et nous pas un mot d'italien.
Finalement, arrivés le matin à Senise, nous n'en sommes repartis qu'en milieu d'après-midi. Mais la journée des gentillesses n'était pas terminée ...

Les filles, fières de leurs poivrons

Philippe et son ami italien, le papa des filles

Philippe, très à l'aise avec la biquette


samedi 13 septembre 2014

Palinuro

Après pas mal de péripéties, nous sommes arrivés mardi soir tard dans un petit endroit de rêve, à Palinuro dans le parc national du Cilento. On est tombé (coup de bol) sur un petit camping au bord de la plage, quasiment déserté car la saison se finit là-bas (le camping fermait d'ailleurs ses portes aujourd'hui) : Camping Odissea (Marina di Camerota), 18 € la nuit contre 45 € pour l'île d'Elbe !! Sans comparaison ... Un paysage de bord de mer différent avec une eau encore plus belle. Nous nous sommes posés 3 jours (Kéziah a bien récupéré) et avons repris la route hier soir, direction Matera (classée au patrimoine mondial de l'Unesco) dans la Basilicate.

Quelques photos de notre pause réparatrice :

Plage du camping Odissea

Campement

Kéziah s'est endormi ...

Pause pour le sportif ...

Plage rejointe en kayak

Le tout-terrain italien. Il y en a partout !

jeudi 11 septembre 2014

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Golfe de Naples

Après Rome donc, nous avons filé vers Naples. Premier arrêt à Pozzuoli pour voir La Solfatara, un cratère encore actif (jets de vapeurs, sol très chaud, eau bouillonnante) :
La Solfatara
Sur la photo, vous voyez les vapeurs mais vous n'avez pas l'odeur (soufre !!). Ensuite, nous sommes partis à Pompeï après pas mal de péripéties et malgré des hordes de touristes (le mot est faible !), l'endroit est saisissant. Les rues avec les passages piétons (les pierres posées en travers de la rue) (!!) et les traces de chariot sont intactes, c'est ce qui nous a le plus impressionné. A voir donc mais dès l'ouverture.

Pompeï


Kéziah à Pompeï
Après Pompeï, nous voulions monter au Vésuve mais nous avons renoncé vu le monde et la chaleur. Kéziah en avait marre et nous aussi. Nous avons aussi renoncé à aller sur la côte amalfitaine (même si paraît-il elle est magnifique) car il y est très difficile d'y circuler et de s'y arrêter. Et nous avions très envie de nous poser dans un endroit tranquille au bord de la mer. Des italiens rencontrés à Rome nous ont indiqué un endroit au sud de Salerno, Capo Palinuro. Nous sommes donc partis dans cette direction et avons donc quitté le golfe de Naples. En chemin, nous nous sommes arrêtés sur un élevage de bufflonnes (Tenuta Vannulo) et nous avons gouté de la mozzarella di Bufala, la meilleure que nous n'avons jamais mangé (rien à voir avec celle que l'on peut trouver en France). On a aussi acheté des yaourts au lait de bufflonne, un vrai délice.

Élevage de bufflonnes

Rome

Petit retour chronologique ... Nous étions donc à Rome le WE dernier avant de finir à l'hôpital ... (je vous rassure, tout va bien pour Kéziah maintenant). Nous y avons passé deux journées très, très chaudes. (On pense finalement que Kéziah a pu s'être déshydraté). Nous avons commencé par le classique Colisée, très beau de l'extérieur mais décevant à l'intérieur : difficile d'imaginer ce que c'était sans les gradins) puis le forum romain. Notre coup de cœur a été pour le quartier du Campo dei Fiori, une petite place avec un marché, des terrasses autour, vivant, populaire ... Nous y sommes d'ailleurs retournés le lendemain. Nous sommes allés aussi au Vatican, place Saint Pierre et Basilique St Pierre. Chapelle sixtine fermée, un peu déçus. Finalement, on a bien aimé Rome (on s'est régalé de glaces !) mais pour Kéziah et compte tenu de la chaleur, on a pas voulu en faire trop.

Quelques photos :
Une romaine ...

Family in Roma

Classique mais tellement beau !

Basilique St Pierre

mardi 9 septembre 2014

Journée de m.....

Que ceux qui vont au boulot sans parfois toujours autant d'entrain se rassurent, ceux qui voyagent ont aussi leurs journées de m..... . Aujourd'hui en était une belle. Cela a commencé vers 2h00 du matin lorsque Kéziah nous a réveillés avec 39.9 de fièvre et qu'il a mis une heure à se rendormir ... et nous avec. Nous étions à Rome depuis 2 jours (petit article à suivre sur Rome) et depuis 2 jours Kéziah a de la fièvre. Après cette nuit chaude donc, le gentil italien qui tient l'aire de camping-car à Rome nous a gentiment proposé d'amener Kéziah à l'hôpital du coin. Nous voilà donc partis dans un pronto soccorso (petit hôpital public de la banlieue de Rome). Quand on voit l'hôpital public en Italie, on se dit que le nôtre, même s'il est malmené, est encore pas mal. Une salle d'attente avec 3 pauvres chaises dans un couloir et une bonne soeur qui passe de temps en temps. On a pensé qu'on y était pour la journée et en fait c'est allé assez vite (bon, ça nous a pris la matinée quand même !). Finalement, tout le monde a été très gentil, diagnostic pour kéziah : pas grand chose, amygdales un peu rouges. Traitement : doliprane et antibio mais ce soir il a refusé de prendre l'antibio. Tout va bien !
Nous avons ensuite pris la direction de Naples et Pozzuoli (dans sa banlieue). On pensait arriver dans une petite ville tranquille pour voir le volcan de la Solfatara. En fait, du monde partout. On a quand même pu voir (et surtout sentir !) les vapeurs sulfureuses de ce volcan. 
Mais on a surtout eu un aperçu du problème qu'ont les napolitains avec leurs poubelles en prenant une bretelle d'autoroute jonchée de déchets et une TV en plein milieu ! Naples et sa banlieue, du monde partout. Nous voulions nous arrêter à Herculanum, une des villes englouties par le Vésuve, impossible, pas de parking, aucun feu de signalisation qui fonctionne, on a été forcé de filer sur Pompéï pour passer la nuit. Du coup, on va y faire une petite visite même si on sent bien que c'est hyper touristique !
J'oubliais : pour couronner le tout, il a fait hyper chaud, kéziah pleurait dans le camion parce qu'il avait le soleil en face ...
Mais demain est un autre jour !

vendredi 5 septembre 2014

Toscane

Après l'île d'Elbe (belle mais chère quand même !!), nous avons rejoint mes parents à Volterra, en Toscane. Ils arrivaient de Pise en vélo !! ça a été vraiment super de les retrouver. Nous sommes restés 4 jours avec eux. De Volterra, nous sommes allés à San Gimignano puis Monterigioni (nous sommes passés dans un petit hameau médiéval, Abbadia Isola, magnifique !!) et enfin Sienne, toujours aussi sublime avec sa piazza del campo. Pour ceux qui ne connaissent pas, Sienne est un vrai bijou. Pour moi, la plus belle ville de Toscane sans aucun doute ... Nous nous sommes séparés ce matin, mes parents poursuivant leur tour de la Toscane en vélo et nous descendant sur Rome.
Un (tout petit) aperçu :

Campement des parents. Rigolo, non ?

Les chaussures de Philippe qui laissent rêveurs les italiens ...

Les parents qui poursuivent leur périple

Sienne - Piazza del Campo

Sienne